D’abord lancé uniquement avec le bien connu 4 cylindres 1,3 l à micro-hybridation, le Nissan Qashai étoffait sa gamme l’an dernier avec une version hybride au fonctionnement particulier. Ici, le moteur essence fait office de générateur pour alimenter la batterie. Techniquement, l’intérêt est loin d’être évident. Usine à gaz marketing ou vraie bonne idée ? Nous avons mis le Qashqai e-Power à l’épreuve, en longue distance.
Cela dure depuis quelques années déjà. Tous les constructeurs y vont de leurs procédés, techniques et recettes plus ou moins éprouvées pour grappiller quelques grammes de CO2, et l’automobiliste profane a de quoi s’y perdre… L’argument “hybride” est devenu une sorte de formule magique fourre-tout, qui regroupe à peu près tous les degrés d’électrification. Pas de méprise possible dès que l’on s’intéresse un minimum au sujet, mais bien des constructeurs entretiennent sciemment la confusion. Pour peu que des anglicismes s’y mêlent, tout est foutu ! Mild-hybrid (ou hybridation légère), hybride classique ou full-hybrid, hybride PHEV (rechargeable)… Les malentendus sont fréquents, d’autant plus regrettables que ces systèmes ne s’appliquent pas du tout aux mêmes profils s’usage. Le plus efficace pour l’un sera peut-être le pire pour un autre conducteur.
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in Essais
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