Pour sa seconde génération, le Hyundai Kona a fait grimper ses dimensions d’un (gros) cran, flirte presque avec les SUV de la pointure supérieure, soigne son contenu techno et se pare d’un look un rien provocant. Cela fait désormais partie des habitudes Hyundai, et généralement, ça fonctionne : jouer à fond la carte de l’objet roulant non identifié. Notre essai.
Le nouveau Kona, SUV dit “urbain” aligné face aux stars du genre Renault Captur, Peugeot 2008 et Volkswagen T-Roc, toise désormais ce petit monde avec ses nouvelles mensurations : à 4,35 m de long (14,5 cm de plus que le précédent), il est le plus imposant du segment (en moyenne, 10 cm plus long que ses rivaux) et devient presque familial. L’une des manières de se démarquer sur un créneau encombré (ou saturé) est de prendre ses distances par rapport aux camarades. Pour Hyundai, l’opération visait surtout à clarifier la gamme et éviter le double emploi créé avec le Bayon lancé en 2021. Même si l’ancien Kona se plaçait un ton au-dessus, en prestations et en technologie, tous deux étaient comparables en dimensions et en habitabilité (4,18 m pour le petit frère). Le Kona 2023 est donc au coude à coude avec son cousin coréen Kia Niro (4,42 m), ou un Skoda Karoq (4,39 m) par exemple.
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in Essais
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