Dans la foulée des cousines Stellantis, il y a du neuf côté mécanique chez Opel. L’évolution hybride du 3 cylindres 1.2 essence, d’abord déployé sur la gamme Peugeot, a fait son apparition sous le capot de l’Astra. A la clef : léger gain de puissance, agrément en progrès et quelques litres de carburant grappillés. Sur le break Sports Tourer, cette hybridation légère ressemble a priori à un bon calcul pour un usage familial. Notre essai.
Dans la chasse aux émissions qui dicte actuellement à peu près tout développement mécanique, l’électrification n’est pas forcément synonyme d’hybride rechargeable complexe ou de 100 % électrique chargé de lourdes batteries. Plus modestement, l’hybridation légère aujourd’hui généralisée présente des avantages rationnels très concrets : faible encombrement du système, surpoids réduit (environ 80 kg de plus que le 1.2, 1.502 kg au total pour le break Astra), coûts de développement modérés et transparence quasi-totale (si tout va bien) à l’usage, par rapport à un moteur thermique classique. Et si le gain de consommation semble modeste, grappiller quelques grammes de CO2 en homologation est toujours bon à prendre lorsqu’il s’agit de se conforter aux exigences européennes… et d’éviter du malus au client français, accessoirement.
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in Essais
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