Dérivé du Captur dont il est une variante allongée et redessinée, le Symbioz vient combler une place laissée vacante depuis la disparition du Scenic 4 au profit d’un remplaçant 100 % électrique. Seulement, le monospace classique étant bel et bien de l’histoire ancienne, nous avons désormais affaire à un SUV… hybride, uniquement. Les familles adeptes du « vrai » Scenic peuvent-elles vraiment y trouver leur compte ?
Rien à voir avec le spectaculaire concept découvert en 2017, à l’époque où le salon de Francfort existait encore. A l’époque, les constructeurs y allaient encore de leurs études de style plus ou moins fantasques. Le Symbioz, imposant coupé électrique censé servir de laboratoire roulant sur la conduite autonome (nous en avions pris les commandes sur autoroute !), faisait partie de ces réalisations d’anticipation pas vraiment destinées à concrétiser les délires créatifs des futurologues (ça existe). Enfin, Renault en a tout de même ressorti le nom… Cette fois appliqué à un SUV tout ce qu’il y a de plus convenu et froidement dicté par le marketing : le Symbioz est un Captur allongé, porté à 4,41 m (17 cm de plus au niveau du porte à faux arrière), soit la même longueur que le Scenic de quatrième génération en version courte. Il se destine donc à faire le trait d’union entre un Captur trop juste pour les familles et un Austral plus gros et onéreux.
{{_DYNINFEED_BLOCK_}}
in Essais
Comments
Loading…