Pour sa quatrième génération, la Suzuki Swift a bien pris soin de conserver ce qui fait son succès depuis près de 20 ans. Poids réduit, look sympa, conception rationnelle. Seule concession aux tendances : l’arrivée d’un nouveau trois-cylindres, toujours à micro-hybridation. La simplicité a souvent des vertus ! Notre essai.
La Swift fait partie de ces seconds rôles talentueux, qui mènent tranquillement leur carrière dans l’ombre des stars du marché. En France, difficile d’espérer inquiéter nos Peugeot 208 et Renault Clio nationales, et autres Volkswagen Polo ou Toyota Yaris qui profitent d’une image béton. La citadine japonaise se plait pourtant très bien chez nous : sans prétendre bouleverser la donne, elle représente tout de même près de la moitié des ventes Suzuki en France, et peut compter sur un public de fidèles. Il s’en écoule tout de même 10.000 par an, en moyenne, depuis l’arrivée de la première génération en 2004. La bouille originale, les tarifs serrés (mais pas low-cost) et accessoirement la présence de versions atypiques comme les Swift Sport et AllGrip (nous y reviendrons, promis, les montagnards adorent), ont largement contribué à son succès.
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in Essais
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